De l’événementiel aux médias en passant par la mode, les Industries Culturelles et Créatives (ICC) s’engagent et développent de nouveaux modèles pour faire face au défi climatique. Quels sont les enjeux à relever et quels modèles se dégagent pour y répondre ? Réponses en vidéo.

La French Touch prend sa part ! Engagés personnellement et professionnellement en faveur du climat, Jean-François Camilleri, président d’Echo Studio – producteur et distributeur de films à impact -, Antoine Régis, co-fondateur du fonds d’investissement Eutopia – qui soutient les marque émergentes et engagées – , et Marie Sabot, directrice associée de WELOVEART Agency et du festival We Love Green étaient réunis, sur la scène de We Are French Touch, pour échanger leur réflexion sur la manière dont les ICC s’emparent du défi climatique.

Agir plutôt que subir

Les ICC ont leur rôle à jouer dans la transition écologique et énergétique (TEE). D’abord en tant que responsable d’émission de gaz à effet de serre. Elles seraient la 3e cause de mobilité en France et génèreraient près de la moitié des données numériques du pays, avec une montée en puissance depuis le début de la crise sanitaire. Cependant, il n’existe pas, ou peu, d’études d’impact spécifiquement dédiées à La French Touch. Pourtant les ICC peuvent, en tant que vecteur de tendance, insuffler un vent de changement auprès de public et encourager l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses pour le climat. Une vision partagée par Jean-François Camilleri : « Si on réussit à sensibiliser ne serait-ce qu’une seule personne à un sujet, comme le climat par exemple, nous lui donnons les outils pour qu’il puisse passer à l’action s’il le souhaite. »